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Des lieux d’exception… Rosa bonheur…

Le Cottage de Philippe Girardon

Un chef exigeant, tout doit être parfait pour ce MOF -Meilleur Ouvrier de France. Rien n’est laissé au hasard et c’est derrière son comptoir (seconde 41) qu’il a installé l’Optimiseur Terawatt de la gamme Synapse 2.0. Un produit français qui optimise la cuisine d’un grand chef français. Ce dernier comme dans tous ses choix travaille avec un objectif de durabilité. La qualité, l’environnement, l’avenir de notre planète autant de critère que Philippe Girardon met en avant.

 

Pinasse Café

 

Un lieu exceptionnel sur le bassin d’Arcachon où ciel et mer s’épousent sous les yeux enchantés des clients. Ils savourent le paysage et leurs mets succulents désormais concoctés par un chef. Pascal Nibaudeau est désormais le talentueux chef qui officie derrière des fourneaux optimisés par la société Terawatt. Une fois de plus talent et économie travaillent de concert et prouvent que les optimiseurs d’énergie électrique de Terawatt permettent un travail d’orfèvre en toute transparence.

 

Le presse parle du nouveau chef

Article du journal Sud Ouest

Depuis cet hiver, Pascal Nibaudeau est l’inattendu chef du Pinasse Café au Cap-Ferret. Parti « en colère » du Pressoir d’Argent, l’étoilé étale ses ambitions.

Bien sûr, pas loin du Pinasse Café, il y a la (modeste) maison au pied de la dune, où ricochent les bruits de l’Océan. Idéal pour qui aime surfer en solo. Et se ressourcer. Mais autant stopper net toute tentative de cliché : le « bonhomme » (ainsi qu’il se qualifie) n’est pas du genre à s’offrir un break, peinard, à l’ombre des pins et les pieds dans l’eau. À 41 ans, Pascal Nibaudeau a des allures de bête blessée. Avec cette colère rentrée qui jaillit dès que les mots clés sont lâchés : Grand Hôtel, Pressoir d’Argent, départ, étonnement…

« Je suis en colère parce que j’ai pris une claque et qu’on ne m’a pas donné l’occasion de m’exprimer. » Les faits étant sacrés, il convient de les rappeler : arrivé inconnu au bataillon bordelais en 2008, Pascal Nibaudeau va très vite inscrire son nom en haut de l’affiche. Gault et Millau d’or (meilleur espoir) en 2009 et surtout première étoile au Michelin en 2010 récompensent le talent éclos du chef.

« J’ai fabriqué cette table. On m’a appelé pour faire un palace au Grand Hôtel, je l’ai fait. Après… » Après, Yan Vacher est nommé directeur général du Grand Hôtel. Et, très vite, il est manifeste qu’entre les deux hommes, la béarnaise ne prendra pas. Fin 2013, après des mois cahin-caha, Nibaudeau s’en va. « Personne n’est venu me demander pourquoi… Mais je peux dire ce que je veux, je peux travailler où je veux. »

Le talent du « bonhomme » n’aurait pas été en adéquation avec les ambitions du Grand Hôtel de Bordeaux

Dans le milieu, le malaise pointe derrière un sous-entendu à peine larvé : le talent du « bonhomme » n’aurait pas été en adéquation avec les ambitions du lieu, à hauteur d’une deuxième étoile au Michelin. Mais, six mois après le départ de son chef, le Pressoir d’Argent est officiellement « en sommeil ». Sourire carnassier. « Qui a la bonne politique ? Un cuisinier qui remplit le restaurant ou un directeur qui le ferme ? »

Derrière la pique, l’épisode reste douloureux mais s’apaise au rythme des marées. Pointe surtout une certitude : « Si je suis encore là, c’est que je n’ai pas fini mon boulot avec cette terre, avec Bordeaux. » Tout de même, que diable est-il venu faire dans cette pinasse ? C’est qu’il n’a pas le parcours classique d’un enfant des fourneaux, comme d’autres le seraient de la balle, lui, le « petit Charentais formé en Belgique. » Natif de Saint-Jean-d’Angély (17), école hôtelière de La Rochelle, deux ans dans les fusiliers marins, pas banal pour un futur étoilé : « Je voulais faire le tour du monde, gagner ma vie comme cuisinier embarqué… »

Il finira par débarquer à Bruxelles, au Hilton, « où je me suis délié les doigts ». Passages à Londres, à Berlin, toujours dans le giron Hilton, et retour à Bruxelles pour « la » rencontre : celle avec Yves Mattagne. « Là, ma vie de cuisinier est devenue vie de chef. »

Le modèle double étoilé va tout changer. « Il m’a fait comprendre que j’étais fait pour cela. Et m’a tout enseigné. Dans la cuisine, il y a le respect, un code, un langage, une gestuelle, une attitude… » Après deux heures de tête-à-tête passionnel, on le retrouve apaisé, exceptionnellement attablé pour goûter ses plats (« Ça ne m’arrive jamais ! ») et expliquer ce détour enchanté au Cap-Ferret.

Or, donc, pourquoi le Pinasse ? « C’est d’abord une affaire d’amitiés. Je suis tombé amoureux de cet endroit. Je suis un affectif, j’ai besoin d’aimer un lieu pour le faire parler. Ici, on m’a laissé le droit de m’exprimer… »

Nibaudeau, l’arme secrète pour franchir un palier inavoué au Pinasse Café?

À ses côtés, Laurent et Alexandra Tournier acquiescent. Entre le couple et le chef, le respect s’exprime via un vouvoiement qui peut surprendre. Propriétaires des lieux depuis plus de vingt ans, c’est comme s’ils n’avaient pas vu venir cette météorite dans leur ciel. « Pourtant, on était en contact depuis deux ans, explique Laurent Tournier. À l’arrivée, Pascal, c’est un vrai coup de fouet ! Seul regret : depuis qu’il est le chef, je ne mets plus les pieds en cuisine comme avant pour filer un coup de main, interdit ! » Sourires complices et entendus du trio. Nibaudeau, l’arme secrète pour franchir un palier inavoué ?

En expliquant comment il a revisité la salade d’encornets, emblématique des lieux, rajoutant sucrine croquante, roquette et condiments d’une César, Nibaudeau teste son hôte avec son homard bleu, ris de veau et béarnaise des sucs de presse. « Mon credo, c’est de marier mer et terre. » Pour qui a (aussi) goûté l’œuf de poule poché, haddock, lait de foie gras et parfum de truffe, il est possible de confirmer. Idem de son chèvre comme un nougat, coulis de concombre, aneth et anguille fumée. Simple, délicieux.

Je suis payé pour faire du luxe, j’ai été formé pour ça

Les 370 couverts d’un midi de mai ? Les 600 couverts quotidiens de l’été ? Rien ne l’effraie. Dans des cuisines refaites à neuf, il installe sa « cuisine de goût(s) ». « Je suis un pilote de navire, pas de bateau… Surtout, je suis et je reste un chasseur d’étoiles. » C’est dit. Sans ambages. Comme la suite. « Je suis payé pour faire du luxe, j’ai été formé pour ça. Le Pinasse, ce n’est pas un resto de plage. C’est un endroit chic et pas que bohème… J’avais le choix, j’ai choisi. L’idée est de nous ouvrir l’opportunité de créer une table gastronomique. »

Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites. Une étoile au Pinasse ? Une première sur la presqu’île, sauf erreur de mémoire ferret-capienne et autres naturalisés. Laurent Tournier ne dit pas oui, ne dit plus non. « Pascal est peut-être la pierre qui manquait à l’édifice. »

Au bord du débarcadère, les pieds dans le sable, le passage du douanier comme compagnon et vue imprenable sur la dune du Pilat : « Notre seul concurrent, le paradis », dit joliment la carte postale. L’écrin est là. Ne manque plus que l’étoile à y déposer, à côté, sur la plage.

Article de Jean-Pierre Dorian paru dans le journal Sud Ouest du jeudi 05 juin 2014.

Photo Laurent Theillet.

Site du Pinasse Café

 

La Péniche Rosa sur les quais de Seine

Sans un optimiseur Terawatt qui a permis de faire tourner tout le matériel nécessaire dans la limite des contraintes imposées par la location très spécifique de la péniche : Rosa Bonheur sur Seine ne pourrait servir ses clients…

 

La péniche du Rosa Bonheur est arrivée

Site My Little Paris

Depuis le temps qu’on scrutait l’horizon… Elle a débarqué hier, en semblant crier « je-suis-le-spot-de-l’été ». Ça y est : la péniche du Rosa Bonheur a enfin ouvert ses portes.

Elle a glissé le long de la Seine pour venir se poser à l’ombre du pont Alexandre III, face au Grand Palais. Elle a emmené avec elle la même folie douce qu’au sommet des Buttes-Chaumont : un parfum de vacances et ce petit vent de liberté qui pousse à parler aux inconnus et à se déhancher sans complexe sur la piste. Quoi d’autre ? Baby foot, béquetage de tapas, petit rosé à la buvette et coucher de soleil sur la Seine… Bienvenue en été.

 

Rosa Bonheur sur Seine, rosé frais et soleil

Dans la famille Rosa, il y a la maman Rosa Bonheur des Buttes Chaumont, la fille En Attendant Rosa sur les quais de Seine et la petite dernière : Rosa Bonheur sur Seine. Elle vient de s’installer sur les Berges de Seine, du côté des Invalides et il y a comme un air de vacances !

Rosa Bonheur débarque sur Seine ! Crédit photos : Fanny B / ParisBouge.com.
Rosa Bonheur débarque sur Seine ! Crédit photos : Fanny B / ParisBouge.com.

A l’ombre du pont Alexandre III, face au Grand Palais, une péniche flambante neuve, spécialement construite pour Rosa Bonheur, est sortie de l’eau il y a quelques jours. A l’intérieur, vous retrouverez tout ce qui a fait le succès de la célèbre guinguette : on prend l’apéro à la buvette avec ses petits rosés qui sentent bon l’été (une belle palette de vins dont la cuvée de la maison), on déguste sur le pouce les tapas avec son jambon serrano, sa crème d’artichaut, ses billes de mozzarella, ses petites sardines, mais aussi ses derniers desserts frais et fruités, le tout de saison et bio. Côté ambiance, on se jette sur le baby-foot pour des parties enflammées avec les copains et bien sûr on se déhanche toute la soirée sur les grandes pistes de danse. Pour les plus romantiques, venez assez tôt pour vous installer aux meilleures places et profiter du coucher de soleil sur le pont, effet garanti.

 

rosa bonheur sur seine peniche paris