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Haro du délestage cascadocyclique

Point d’éloge du cascadocyclique…

…un billet d’humeur d’ailleurs !

 

De qui se moque-t-on avec le délestage cascadocyclique ?

 

Ou comment l’indigence d’algorithmes simplistes, des calculs de performances fantasmagoriques transforment un délesteur cascadocyclique en machine à cash !

 

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L’optimisation pilote tout ou partie des demandes d’énergie de systèmes, principalement inertiels, pour effacer les pointes, linéariser les courbes…dans le respect de l’exploitation et du confort.

 

L’algorithme d’optimisation doit la satisfaction de la consigne la plus basse possible avec un nombre minimisé de commutations, pour le total respect de l’exploitation. Il calcul quand déclencher une phase de gestion, quels matériels gérer, combien de temps durera la commutation.

 

Il semble évident que la prise en compte des matériels pilotables (état / capacités) est fondamentale…

 

Pour certain fabricant d’outre Rhin, seules sont prises en compte la mesure de flux et la consigne programmée. En cas de besoin, les équipements raccordés sont commutés, par groupe, en délestage cascadocyclique temporisé (x » Off / y » On) selon des priorités figées.

L’équipement, son travail, son état énergétique, faute de technologie adaptée, sont totalement ignorés et absents de l’algorithme.

  • Que l’équipement soit éteint ou en phase « off » de régulation
  • qu’il ne soit pas effectivement raccordé et connecté,

importe peu. Ce processus –couper en aveugle- serait simplement grotesque mais serait préjudiciable au fonctionnement si la commutation survient :

  • alors que la régulation, selon l’hystérésis inertiel, vienne dans le même instant à s’enclencher
  • quand la durée de coupure est supérieure au « Off » du cycle

 

…et si d’aventure le matériel était effectivement « On » lors de la commutation, il n’est pas avéré qu’il fût resté dans cet état toute la durée de la commutation. De fait tant que la mesure de tête ne baisse pas, la cascade de déclenchements se déroule…

 

Commuter n’est pas performer ; cette gesticulation électrotechnique participe malheureusement au soi-disant calcul de performance.